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Institut des Nations Unies pour la recherche sur le désarmement (UNIDIR)

© Jjumba Martin
Florence Kirabira, Nema Sagara, Armelle Tsafack
L'UNIDIR a organisé un atelier régional en Ouganda en février 2020. Les représentants de nombreux pays africains ont partagé des idées pour renforcer l'intégration du genre dans la maîtrise des armements et le désarmement. Nous avons pris connaissance d'initiatives visant à améliorer la compréhension des perspectives de genre dans la paix et la sécurité. “Les femmes sont des acteurs clés dans les processus de contrôle des armements et de désarmement. Si elles sont écartées, les processus de désarmement n'aboutiront pas. Il est important de capter l'attention et le soutien des femmes dans ces processus. Bien que l'Ouganda ait soutenu les réformes visant à intégrer davantage de femmes dans les structures de sécurité, les femmes sont encore peu nombreuses dans la hiérarchie”.

Florence Kirabira
Ministère des affaires intérieures et interlocuteur principale au sein de la Commission nationale sur les armes légères Ouganda.
“Nous devons agir. De bonnes stratégies ont été incluses dans les plans d'action de notre pays sur le contrôle des armes légères et de petit calibre. Cependant, peu d'actions ont été entreprises. Il est grand temps de passer des “paroles” aux actes.

Colonel-Major Nema Sagara
Commission nationale sur les armes légères et de petit calibre Mali. “Placer la vie des gens sous le contrôle de machines est très dangereux. L'utilisation des machines et des robots devrait être bien réglementée.”

Armelle Tsafack
Campagne pour l'interdiction des robots tueurs au Cameroun.